Un savant — je dis, bien entendu, un vrai savant– qui en eût été le témoin averti, n’eût point manqué d’écrire sur son carnet de notes cette observation psycho-systématique, capable de révolutionner toutes nos idées sur les chiens, et aussi, je pense, sur les hommes :
« Le chien naît misanthrope. »*
Platon n'est pas, et de loin, le seul chien de l’histoire de la littérature. S'il fait manifestement partie de cette histoire il est quasi certain qu'il ne fera pas, à son grand regret, encore secret, partie de l'autre...
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