"... rédigée d'une écriture minuscule, à peine lisible, même les paragraphes où l'encre ne s'était pas diluée. Un florilège chaotique qui englobait des références littéraires, des pensées intimes et des poèmes. Certains passages étaient raturés avec un soin méticuleux et les traits étaient si énergiques qu'ils avaient déchiré le papier."*
* La veille de presque tout, Víctor Del Árbol, Actes Sud
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