« L’acteur qui ne refait pas deux fois le même geste, mais qui fait des gestes, bouge, et certes il brutalise des formes, mais derrière ces formes, et par leurs destruction, il rejoint ce qui survit aux formes et produit leur continuation.
Le théâtre qui n’est dans rien mais se sert de tous les langages: gestes, sons, paroles, feu, cris, se retrouve exactement au point où l’esprit a besoin d’un langage pour produire ses manifestations.»
Antonin Artaud, Le théâtre et son double
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