« Notre
monde moral et politique est miné par des couloirs, des caves et des
cloaques souterrains, comme une grande ville à la cohésion de laquelle
personne ne pense et ne réfléchit, pas plus qu’aux conditions de vie de
ses habitants ; sauf que celui qui en est quelque peu informé sera
beaucoup moins étonné si un jour le terrain s’effondre ici ou là, si
soudain une fumée (...) s’élève ou des voix étranges se font entendre. »
Goethe, Lettre à Lavater du 22juin 1781
– Je suis sûr que la nuit dernière...
– Au-delà de toute croyance...
– ... au-delà de tout dogme...
– ... ou de toute morale...
– Vibrons dans la Présence et dans la Joie...
– Qu'est-ce qui vous prend?
– Je ne sais pas... Un courant d'air peut-être...
– Quand il y avait à peine un coup de vent!
– Je dirai...
– Vous aviez peur, n'est-ce pas?
– Vous appelleriez ça un coup de vent?
– À peine...
– Je dirais que c'était une terrible tempête.
– Vous savez, tout se déploie à mesure de ce que vous déployez...
Goethe, Lettre à Lavater du 22juin 1781
– Je suis sûr que la nuit dernière...
– Au-delà de toute croyance...
– ... au-delà de tout dogme...
– ... ou de toute morale...
– Vibrons dans la Présence et dans la Joie...
– Qu'est-ce qui vous prend?
– Je ne sais pas... Un courant d'air peut-être...
– Quand il y avait à peine un coup de vent!
– Je dirai...
– Vous aviez peur, n'est-ce pas?
– Vous appelleriez ça un coup de vent?
– À peine...
– Je dirais que c'était une terrible tempête.
– Vous savez, tout se déploie à mesure de ce que vous déployez...
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