" Une des raisons de l’atmosphère asphyxiante, dans laquelle nous vivons sans échappée possible et sans recours, et à laquelle nous avons tous notre part, même les plus révolutionnaires d'entre nous, est dans ce respect de ce qui est écrit, formulé ou peint, et qui a pris forme, comme si toute expression n'était pas enfin à bout, et n'était pas arrivée au point où il faut que les choses crèvent pour repartir ou recommencer."
Antonin Artaud, Le théâtre et son double
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