Au loin l’oiseau est passé.
Rien ne bouge. On se laisse enlever dans la brise d’un printemps autrefois flamboyant. Pénétrer dans ces eaux dormantes, accroché aux liens visibles des amarres gisant au fond d’un désert où l’arche s’est brisée. Rougeoyantes cendres calcinées.
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