Suite de la prremière réflexion à propos du compte rendu de la vingtième séance
consacrée à M. Don Carotte
Venons en au cœur du sujet. Je ne sais comment le dire sans gêne… je l’avoue, mais, c’est un fait, j’ai constaté très vite, juste après qu’il m’eut sauté sur les genoux et que je lui eu distribué quelques caresses comme il est en vigueur dans ce type de situation, que je le comprenais sans mot dire… En même temps Don Carotte, aujourd'hui je le sais, était là et il jouait un rôle que je soupçonnais nullement. Et c’est là que commence la véritable ambiguïté. Je sais qu’aucun mot n’a été prononcé par Platon le Petit… et pour cause… mais je sais aussi que j’entendais une voix… Elle me parlait et il y avait une exacte simultanéité entre ce qu’exprimait le chien et les mots que j’entendais parfaitement. Je sais pertinemment que, professionnellement, j’eus dû prendre de la distance… Je ne le fis point… Enfin… peut être pas assez.
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