Brusquement, sans parvenir à penser que moi-même je participais aussi au mouvement, il me devint impossible de les retenir. L'attrait irrésistible de cette odeur nous fascinait et nous empêchait de réaliser que nous étions juchés sur des branches de plus en plus fines et fragiles. Le seul à arriver jusqu’aux feuilles, parce que le plus léger, fut l'âne arboricole. Nous nous étions mis dans une situation bien périlleuse...
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