« C’est ainsi, sans attirer l’attention, que le on étend imperceptiblement
la dictature qui porte sa marque. Nous nous réjouissons et nous nous
amusons comme on se réjouit ; nous lisons, voyons et jugeons en matière
de littérature et d’art comme on voit et juge ; mais nous nous retirons
aussi de la "grande masse" comme on s’en retire ; nous trouvons
"révoltant" ce que l’on trouve révoltant. Le on qui n’est rien de
déterminé et que tous sont, encore que pas à titre de somme, prescrit le
genre d’être à la quotidienneté.»
La trajectoire de Gabar et de son fils Platon l'Ancien est bien loin d'être simple. Il serait un peu léger de dire et surtout de croire que sur ce point comme pour tout le reste, les avis ne soient point divergents comme on le croit...
– Qui est... on ? – Tout dépend..? – ... de tout... c'est le monde... dans sa simplicité originelle... qui serait le paradis? – Non, le monde tout simplement, en tant qu'il n'a pas été multiplié. – L'essence du monde surgi du néant? – L'essence radicale du néant est dans la mort.
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