mercredi 7 avril 2010



Après un bref périple hors de tout contrôle et après avoir tant marché, Joseph le petit berger, ne reconnaissait rien. Rien qui lui permit d’établir avec certitude que l'endroit qu'il avait quitté était ce qu'il avait devant lui. A contrario, pour se rassurer, prenant
pour point de départ arbitraire ses propres souvenirs des animaux et des plantes, entre autres, à laquelle procèdent tous ceux qui doutent, ou plus exactement ceux qui mettent en questions, il s’attache à se montrer que de telles conceptions n’avaient rien d’exceptionnelles puisqu’elles se retrouvent parmi les toutes lecture auxquelles il avait eu accès.
«Après tout, c'est le commencement qui compte. Et dans le fond, peu importe la forme...»

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