mardi 3 avril 2007

La très véridique histoire du colonel Ortho (312)


Il me fallait cacher la source pour en profiter un peu. Je ne voulais pas que mes yeux subissent le même sort que ma main qui la porte. J'aimais jouer avec ces rayons qui rendait presque transparente la main qui la masquait. Je pouvais distinguer le flux qui palpitait à l'intérieur sans savoir si c'était le mien ou celui de la pierre,

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