lundi 18 juin 2007


L’on s’étonne de l’imperfection persistante des pensées sans mots. La belle histoire a autant de résonance que le doux clapotis d'une vague et va d’elle-même trouver son rivage dans la réalité quotidienne.
- Tiens, il pleut! Le temps s'écoule.
- Je ne comprends pas, je sens le soleil qui me chauffe.
- Je vous parle du tableau.
- Il pleut dans le tableau?
- Oui.

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