lundi 4 juin 2007


Monsieur Victor-Hugues,
Veuillez agréer ces quelques instants comme un hommage de très respectueuse fraternité.
Nous avons longuement hésité à vous les offrir, parce que nous savons combien le temps semble vous manquer; mais nous veillerons à ce que tout vous soit compté très précisément.
Ce que nous allons vous dire est écrit dans le journal de votre vie, auquel nous n'avons rien changé pas même les dates. Nous trouvons comme Pierre Loti que, "quand on arrange les choses, on les dérange toujours beaucoup".

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