Soulagé par a discrétion de son compagnon, Don Penúl observait. Non pas ce qu'il avait sous les yeux, mais au contraire ce qui ne s'y trouvait pas. Il avait peine à imaginer ce que le jeune homme, qui l'avait soi-disant sauvé, fuyait. Au vu des circonstances, qui lui paraissaient extrêmement complexes et dont il ne comprenait pas les enjeux, rongé par l'incertitude, Don Penúl faisait de son mieux.
- Il faut bien commencer par quelque chose. Il ne servirait à rien que je prêche la bonne parole à cet individu qui se dit pirate. Attendons... se dit-il à lui-même.
Puis à voix douce mais ferme:
- Pirate, avez-vous dit ?
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