
Je me vêtis de la peau de mouton et j'avançais. Bien dissimulé par deux rangées d’arbres, une clairière au centre de laquelle l'ombre d'un arbre qui m’était inconnu, resplendissait dans une lumière nacrée. Je bouillonnais d’impatience d’en arracher les secrets : des fruits nappés d’une lumière dorée s'offraient à moi.
Le Beau Dais d'Or, conte philosophiste
Dave Hill
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