jeudi 20 juillet 2006

Quelle chance !


Ce jour-là, dans le village, il courait dans tous les sens en exultant :
« Dieu merci ! Dieu merci ! »
Un voisin, ne le «suivant» pas très bien, lui demande :
«Pourquoi mets-tu un tel enthousiasme à remercier Dieu aujourd'hui ?»
Nasredin s'explique, la mine réjouie:
«Je remercie Dieu de tout mon cœur parce que je n'étais pas sur mon âne au moment où il s'est perdu. Car maintenant je serais perdu avec lui et dans l'incapacité de me retrouver! Dieu merci, Dieu merci!»

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