
Ce qui fit que la relation entre Socrate et Platon démarra sous de bien belles augures était que Platon, à l’instar des individus de son espèce, n’était en rien gêné, ni par l’apparence, ni par l’odeur de qui que ce soit. Bien au contraire est-on tenté d’ajouter. Ainsi les moeurs un peu rugueuses et littéralement "mal polies" de Socrate ne le gênaient nullement. Il y voyait une sorte d'exemple suprême.
- Ce sera mon modèle ! avait-il pensé, en lui reniflant le...
Platon avait bien observé Socrate grattant le sol. Il avait bien hésité avant d'interpréter de qu'il faisait. Il avait longuement hésité entre faire pipi ou se mettre à creuser une galerie. Or, justement il avait l'humeur plus joueuse que pissotière. Il se mis à creuser "furiosamente".
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire