lundi 20 juillet 2009


Cher Joachim,

Je crois que cette lettre risque d'être la dernière. Je dois me garder de vous dire tout . Je pense qu'ils se doutent de quelque chose. Je me sens surveillé et mon avis n'est que peu demandé. Je vous dois de faire extrêmement attention. C'est pour cela que je ne vous ais pas écrit ces derniers jours.
Je suis inquiet, j'ai été convoqué au bureau de la place des ensablés. Vous savez ce que cela peut vouloir dire, cependant j'ai quelque espoir que cela ne soit pas en rapport avec vous. Je vous ai écrit un plus long compte-rendu qui vous parviendra par un autre chemin plus sûr.

Aucun commentaire: