dimanche 26 juillet 2009


Je vois, mon cher Joachim,

que vous êtes toujours aussi subtil... Et puisque vous évoquez l'océan j'aimerai vous faire souvenir de ces moments de grâce où, face à la mer, nous jouions avec les vagues. Il ne s'agissait nullement de se laisser porter ou entraîner dans les flots tumultueux, non,il s'agissait se susciter ces vagues, d'en être les maîtres et créateurs. Combien de temps infinis avons-nous observé avant de commencer à comprendre ?

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