jeudi 21 décembre 2006

La très véridique histoire du colonel Ortho (124)


Bien que j'en sois certain, je contrôlais avec soin que le petit lambeau de tissus que j'avais ramené des profondeurs coïncidait avec la déchire qui se voyait sur son bras gauche. Le doute n'était guère permis. Ce petit être avait fait le même voyage que moi. Cela créait des liens. Et puis je lui avais tiré dessus... J'étais peut-être la cause de sa...

La très véridique histoire du colonel Ortho
Aux éditions "Il faut ne donner que la moitié de son esprit à ce que l'on croit, et en réserver l'autre moitié pour le contraire..."*

* Fontenelle

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