samedi 23 décembre 2006

La très véridique histoire du colonel Ortho (147)


Il ne me vint pas à l'idée que non seulement j'avais changé, mais de plus, j'étais complètement nu. Chose à laquelle je ne pouvais remédier. Une certaine forme de connivence s'installa entre nous. Ce fut lui qui découvrit que le mince chemin de sable par lequel j'étais venu, avait disparu, mais il était réapparu de l'autre côté. Il me suggérait avec insistance de reprendre la route...

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