mercredi 27 décembre 2006

La très véridique histoire du colonel Ortho (180)


Je reconnaissais ma flèche. Comment pouvait-elle être arrivée entre ses mains ? Je dus aussi reconnaître que j'avais peur. Mon corps se serait vidé s'il ne m'était resté un minimum de descence. Je ne voulais pas perdre la face devant Illusion qu'il avait relâché pour me tendre sa main. Mais Illusion était partie.Mon odeur se mêla aux odeur de fruits trop mûrs, un vrai cauchemar...

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