samedi 23 décembre 2006

La très véridique histoire du colonel Ortho (148)


Mon compagnon se montra à nouveau d'un vivacité tout-à-fait exceptionnelle pour sa très petite taille. De plus il faisait preuve d'une bonne humeur sans pareille qui ne se manifestait que par ses mouvements harmonieux. On eut dit un danseur. J'avais de la peine à le suivre. Ce qui me mit d'humeur déplaisante d'autant plus qu'était apparue sur son visage, d'ordinaire impassible, une sorte de sourire.

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