
Au printemps, les plus chanceux, à peine éclos de l'épais manteau de neige, sauront distinguer les anciens parmi le feuillage naissant et garderont à jamais, cachée au plus profond d'eux-même, l'image d'un être qui sait se tenir droit dans la lumière, sans qu'il lui soit nécessaire de s'aider de sa queue.
"Vies, moeurs, éducation et destinée des baudets sauvages
à l'usage des sages et de ceux qui les croient bienheureux”
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire