Brecht

Le temps des rencontres était les seuls moments de lumière véritables. En dehors tout n’était pas obscur, mais s’il manquait de lumière, ce n’était pas au sens où l’on en parle généralement mais en un sens plus intérieur. Je voyais les îles clairement mais elles n’étaient pas spécialement éclairées, je veux dire par là que ce que je pouvais observer, sans aller jusqu’à pouvoir le qualifier de banal, je le connaissais déjà… mais cela ne dégageait rien qui puisse me surprendre et encore moins m’éclairer… D’une certaine façon, je…
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