jeudi 7 mai 2015

7 mai / Entre dénuement et dédoublement



– Vous savez, cher Justin Perroquet, comme le disait Don Penul, "la vie d'un homme ne tient pas entièrement dans les images qu'il laisse traîner derrière lui. De ces quelques dessins et photos éparses, une part d'inconnu se projette sans pudeur dans le premier regard qui la caresse et la fait sienne aussitôt. La moindre des pensées fera surgir de ces ruines de la mémoire des arrangements imprévus, une sorte d'esquisse de vie possible, une espèce de mariage amoureux entre le dénuement et un dédoublement jubilatoire".



– Qui est ce Don Penul ?
– Je ne peux vous le dire maintenant...
Pas avant que vous ne nous ayez fini
de nous raconter l'histoire de Victor-Hugues
que vous a raconté votre maître dont, 
finalement nous peinons à cerner les contours...

Aucun commentaire: