«
Le volcan représente d'une certaine manière le symbole retourné,
inversé, de la montagne cosmique non plus montagne d'élévation ou de
rencontre avec le sacré, mais lieu de chute ou de punition; celle-ci
devient alors monstrueuse et terrifiante. Elle perturbe l'ordre du monde
et en révèle des ressorts angoissants et incontrôlables. Elle ouvre
enfin sur le mystère des profondeurs de la terre et suscite un
imaginaire tellurique extraordinairement puissant, dont Aristote
lui-même s'était déjà fait l'écho dans ses Météorologiques.»
Brice Griezmann, Le Saint, le Sang et le Volcan, CNRS
Le Pantin tourne en rond,
là où l’oasis dansait,
seules restent des pierres.
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