Il est des développements parfaitement inutiles pour des esprits éclairés...
– Voyez-vous, pendant qu’un Mozart vieillissant, chevrotant à son insu, se joue de lui-même, sans un souffle. Dans le nouveau monde de Candide flottent mollement suaves mélodies, doucereux discours, tentures fatiguées et dorures élimées. Candide dont ce n’est pas le vrai nom, change constamment, il passe d’un état à un autre sans jamais en avoir conscience. Dans ce monde qui se veut nouveau, tout, depuis des temps immémoriaux, s’effrite lentement de l’intérieur. Mais pour notre héro, tout étant nouveau, il ne le voit pas.
– Où ne veut pas le voir...
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