jeudi 23 mai 2019

(23) Coïncidences


« On se souvient que Barthes associait le plaisir de lire, et plus largement de vivre, aux vertiges d’un refuge haut perché : « Enfant je m’étais fait une retraite à moi, cabane et belvédère, au palier supérieur d’un escalier extérieur, sur le jardin : j’y lisais, écrivais, collais des papillons, bricolais », notait-il. La cabane de l’écrivain, oui, c’est ce havre où l’amour des mêmes textes coïncide avec le désir d’autre chose.»







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