"Celui qui a trop d'amis n'en a aucun" est la paraphrase retenue par Jacques Derrida pour traduire l'apostrophe que Diogène Laërce attribue à Aristote : "O philoi, oudeis philos. Une longue tradition, qui va de Montaigne à Nietzsche et au-delà, retient la traduction : "O mes amis, il n'y a nul amy", qui peut sembler plus provocative et séduisante, mais ne résiste pas vraiment à l'analyse orthographique et philologique."
https://www.idixa.net/Pixa/pagixa-1412281616.html
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