Pendant ce temps... dans un pays lointain... bien éloigné du paquebot en détresse...
Le Cap'tain, lui, par intervalles réguliers, redescend sur terre pour s'abreuver et rendre aux humains ce que les dieux lui ont donné:
– Ce que nous vivons "dangereusement", en ces temps-ci ou ces jours-là, ne peut en être qu'une confirmation éloquente : "En notre chair et âme”, selon la formule rituellement consacrée...
Le Cap'tain qui, bien que fatigué, "c'est un euphémisme" dit-il, est arrivé au point limite dans sa relation avec le bas peuple qu'il qualifie facilement de "fourbe et lâche". Serait-ce l'effet de la fatigue? Sans doute... un peu... Lui, par son souffle, courage et surtout par son humilité, c'est lui-même qui le dit, a fini par s'élever au dessus de la mêlée, ignorant les flammes, les vapeurs de l'enfer et déclame avec un constance...
– Un jour, vous aussi vous saurez ce que je sais déjà... mais pour vous, il sera trop tard et je serai triste de voir que ce qui est là sous mes yeux vous ne pourrez le voir.
Autant dire tout de suite, pour être honnête, que la grandiloquence, malheureusement, fait courir de grands risques à la valeur de l'idée... Quiconque imaginerait que...
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