lundi 28 août 2017

Recul, politique et soumission


Platon prend du recul. Cela lui arrive...

– Qu'est-ce donc que cet infini qui semble planer au-dessus de nos têtes? Comment se fait-il que nous peinons si fort à voir que c'est nous... Tout embourbé dans nos luttes de pouvoir qui nous sont imposées, incapable de voir à long terme et nous soumettant sans réaction à l’incessante politique débile qui a pourtant  tant de succès...


– Tout, ou presque, mais ce presque n'est pas grand-chose, nous est imposé par l'opinion et la presse qui le relaie. Quand démonterons-nous le mythe de l'école? Je parle de l'école au sens larges, au pluriel. Qu'est-ce qui fait école? Ce qui arrange le plus grand nombre? Ou ce qu l'on fait croire au plus grand nombre par l'intermédiaire de l'école-institution. Le problème, je le vois bien, je l'entends, sitôt posé ce petit préambule, tout le monde croira que je parle politique... et pourtant... ce n'est pas le cas, mais déjà arrive au grand galop un lieu commun: "tout est politique"! 


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