Savamment installé sur le voile rose et fin de l'illusion qui maçonne le juste et parfait décor, alambique et creuset de l'illusion, l'orchestre divin célébrait l'arrivée du nouvel impétrant faisant allégeance à lui-même. La fête allait bon train dans le sillage du Cap'tain. L'imposture prenait de l'essor en même temps que l'imagination du Commandant et Guide Suprême... c'est ainsi qu'à présent notre imposteur se nommait par lui-même... Sur le voile protecteur, l'enlacement des courbes dessinait tour-à-tour tout ce que son esprit désirait, d'innombrables sphères où l'amour de lui-même triomphe des mécréants...
– Heureux qui comme lui ne fit jamais d'aussi longs voyages...
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